Le Vieil homme et la mer
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Philippe Jaworski
À Cuba, voilà quatre-vingt-quatre jours que le vieux Santiago rentre bredouille de la pêche, ses filets désespérément vides. La chance l’a déserté depuis longtemps. À l’aube du quatre-vingt-cinquième jour, son jeune ami Manolin lui fournit deux belles sardines fraîches pour appâter le poisson, et lui souhaite bonne chance en le regardant s’éloigner à bord de son petit bateau. Santiago sent que la fortune lui revient. En effet, un marlin magnifique et gigantesque vient mordre à l’hameçon. Débute alors le plus âpre des duels.
Combat de l’homme et de la nature, roman du courage et de l’espoir, voici l’un des plus grands livres de la littérature américaine.
Prix Pulitzer 1953